• - Nouvelles

    "La fête de nuit" - texte Xavier Grall - Illustrations Gérard Ducos
    éditions Arthemus

    Présentation de l'éditeur :

    Un poète breton exilé à Paris dans les années soixante, passe ses nuits à refaire le monde avec ses amis. Sachant ses jours comptés, il rentrera au pays et finira sa vie sur un coup d'éclat. Seule sa mère remettra dans la mort son fils "debout".

    "Il était Arzel.

    Arzel barde.

    L'homme en marche."


    Extrait :

    - Nouvelles   

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Ce que j'en pense :

    Beaucoup d'émotion à retrouver Glenmor, Kérouac et la "gueule" de Xavier Grall. Même si le texte de Grall n'est pas transcendant le mariage avec les illustrations donne un beau livre en noir et blanc, couleur du drapeau breton.

      

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  • - Nouvelles

    "Toute une vie bien ratée" - Pierre Autin-Grenier
    Folio

    Quatrième de couverture :

    A quoi bon ma vie immobile dans ce trou noir, je me dis, quand partout alentour s'agitent des ingénieurs en aéronautique, parcourent en tout sens la planète Messieurs les Administrateurs des Iles Eparses et que des experts assermentés près les tribunaux expertisent tandis qu'ailleurs attaquent formidablement des banques des bandits prodigieux? Vrai, comment ne pas se demander ce que l'on est venu faire là au milieu et d'où nous vient cette audace de respirer le même air qu'eux? ...

    Extrait :

     

     

    Ce que j'en pense :

    Suite de chroniques (fragments? nouvelles? auto fiction? poèmes en prose? ... peu importe) avec beaucoup d'humour, souvent caustiques, parfois cyniques. Une écriture magnifique.

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  • - Nouvelles

    L'odeur du café - Dany Laferrière
    Motifs; le serpent à plume

    Présentation de l'éditeur :

    Au coeur de ce récit, il y a l'enfance. Celle d'un petit garçon passant ses vacances chez Da, sa grand-mère, et accompagné de la chaleureuse vigilance de ses tantes. Un peu de fièvre, et le voici privé de jeux avec ses camarades. Alors il reste sur la terrasse de bois, à côté de Da qui se balance dans le rocking-chair, avec toujours une tasse de café à portée de la main pour les passants et les voisins.

    Le long des lattes de bois, l'enfant regarde les fourmis, les gouttes de pluie marquant le sol, regarde et écoute les adultes s'occuper et parler, respire les odeurs de la vie.

    Chronique des sensations enfantines, L'Odeur du café est un livre envoûtant, le récit d'un voyage au temps si fragile et si merveilleux de l'enfance.

    Première page :

    "L'été 63

    J'ai passé mon enfance à Petit-Goâve, à quelques kilomètres de Port-au-Prince. Si vous prenez la nationale Sud, c'est un peu après le terrible morne Tapion. Laissez rouler votre camion (on voyage en camion, bien sûr) jusqu'aux casernes (jaune feu), tournez tranquillement à gauche, une légère pente à grimper, et essayez de vous arrêter au 88 de la rue Lamarre.

    Il est fort possible que vous voyiez, assis sur la galerie, une vieille dame au visage serein et souriant à côté d'un petit garçon de dix ans. La vieille dame, c'est ma grand-mère. Il faut l'appeler Da. Da tout court. L'enfant, c'est moi. Et c'est l'été 63."

    Extrait audio :



    Ce que j'en pense :

    Une enfance haïtienne où se mêlent l'humour, la tendresse et beaucoup d'émotion. En lisant ces chapitres divisés en vignettes, on se retrouve vraiment au coeur de ce pays.

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  • - Nouvelles

    "Géographiques " - Bertrand Redonnet
    Le temps qu'il fait

    Présentation de l'éditeur :

    Une longue et joyeuse conversation réunit poète, géographe, climatologue et autre esprit pseudo-scientifique autour d’une table où le vin hongrois coule généreusement. Bertrand Redonnet y fouille la langue, questionne les paysages pour habiter le monde passionnément. L’amoureux d’étymologie nous donne là une démonstration jubilatoire du pouvoir de la poésie et de la littérature : « Elles prétendent dire l’état du monde, dans sa beauté comme dans sa laideur… »

    Première page :

    «Souffrez, madame, que j’avoue enfn l’inclination que depuis tant d’années m’inspire votre noble personne.
    Voilà qui était joliment formulé. Le buste respectueusement penché en avant, chapeau tenu dans la main droite et serré sur le cœur, la gauche, sinistra, celle qui porte le malheur et n’avoue jamais ses véritables desseins, bien repliée derrière le dos.
    Tout ça pour dire, peut-être, que l’étendue de votre patrimoine et la prospérité de vos rentes annuelles m’intéressent au plus haut point ou, beaucoup moins trivial, la nature vous a dotée d’appas tellement suggestifs que l’idée d’en faire plus ample connaissance m’obsède.
    Il n’eût cependant pas fallu que le melliflu, souffrant de quelque confusion de vocabulaire ou embarrassé de sa propre duplicité, s’emmêlât les crayons au point de décliner en s’inclinant son inclinaison. Il eût ainsi détruit la belle substance métaphorique de l’inclination et pour une telle marque de goujaterie eût sans doute été éconduit sans passer par l’étude notariale ou, bien pire, par le déduit.

    Ce que j'en pense :

    Conversation qui questionne la géographie : les paysages, le monde... mais parfois difficile à suivre.

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  • - Nouvelles

    "Tout bouge autour de moi" - Dany Laferrière
    Mémoire d'encrier

    Présentation de l'éditeur :

    Tout bouge autour de moi, est un témoignage de Dany Laferrière autour du séisme du 12 janvier 2010 qui a détruit Haïti. L'auteur retrace dans cet ouvrage les principaux moments du désastre : textes brefs, portraits, impressions. L'auteur plante le décor de son île avec la force et la générosité qu'on lui connaît. Il livre également en des touches discrètes ses émotions, ses sentiments et ses pensées dans cette chronique touchante.

    Tout bouge autour de moi, c'est Dany Laferrière qui jette un regard poignant sur Haïti, sur la fragilité des choses et des êtres. Cet ouvrage est également une leçon d'élégance, de dignité et de courage du peuple haïtien qui a trouvé l'énergie pour recommencer la vie après le séisme.

    « Partout où je vais, les gens m'adressent la parole en baissant la voix. Conversation entrecoupée de silences. Les yeux baissés, on m'effleure la main. Bien sûr qu'à travers moi, on s'adresse à cette île blessée mais de moins en moins isolée. On me demande de ses nouvelles. Ils comprennent vite qu'ils sont plus au courant de ce qui se passe que moi. Je me suis éloigné de cette rumeur intoxicante afin de préserver ces images qui brûlent encore en moi. Cette petite fille qui, la nuit du séisme, s'inquiétait à savoir s'il y avait classe demain. Ou cette marchande de mangues que j'ai vue, le 13 janvier au matin, assise par terre, le dos contre un mur, avec un lot de mangues à vendre. Quand les gens me parlent, je vois dans leurs yeux qu'ils s'adressent aux morts, alors que je m'accroche à la moindre mouche vivante. »

    Première page :

    "6 janvier 2010. J'arrive à Port-au-Prince pour la deuxième édition du festival Etonnants Voyageurs, un festival littéraire réunissant en Haïti des écrivains venus du monde entier. Cette édition s'annonce excitante, car les écrivains haïtiens ont raflé en 2009 pas moins de treize prix littéraires sur la scène internationale. Pour la première fois, la littérature supplante le discours politique dans la faveur populaire. Les écrivains sont invités à la télévision plus souvent que les députés, ce qui est assez rare dans ce pays à fort tempérament politique. La littérature reprend ici de nouveau sa place. Déjà en 1929, Paul Morand note dans son vif essai Hiver caraïbe que tout finit en Haïti par un recueil de poèmes. Plus tard, Malraux parlera, lors de son dernier voyage à Port-au-Prince en 1975, d'un peuple qui peint. Etonnant pays d'artistes."

    Ce que j'en pense :

    C'est d'abord un journal écrit quelques semaines après le tremblement de terre, mais c'est également une réflexion sur l'exil et sur la responsabilité des intellectuels.

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  • - Nouvelles

    "Je suis pour tout ce qui aide à traverser la nuit" - Fabio Viscogliosi
    Stock

    Présentation de l'éditeur :

    " Il s'agissait de le traverser, ce couloir, le plus lentement possible, sans se toucher, sans même s'effleurer. Cela pouvait prendre plusieurs longues minutes. Privé de lumière, le temps s'étirait, et nous aussi. Le moindre souffle déclenchait alors l'hystérie, et il n'était pas rare de prendre un coup de genou dans le foie ou dans le nez. Des larmes nous montaient brusquement aux yeux, et il était difficile de décider si l'on pleurait de joie ou de douleur. "
    Voici un livre en puzzle, 154 courts chapitres - récits, portraits, souvenirs, tableaux, légendes, rêveries, tout à la fois. Par bonds successifs, on croise ainsi Buster Keaton et ses chaussures, un Picasso amoureux des chauves-souris, le chien Snoopy et l'ombre de Tristram Shandy ; on visite les faubourgs de Rome, les trottoirs de Houston Street (NY) ou la gare de Chambéryy. Les pièces s'assemblent en cascade dans ce voyage vibrant où se mêlent les pas du narrateur et ceux de son père, figure omniprésente et absente à jamais.

    Première page :

    « Le bonheur ne produit pas d'histoires. » Voilà ce qu'aurait dit un jour le cinéaste Michelangelo Antonioni. Je me souviens d'avoir découvert cette phrase définitive au milieu d'un cahier spécial du journal Le Monde publié à l'occasion de sa mort. Je l'ai relue plusieurs fois, sautillant d'un pied sur l'autre. D'emblée, l'idée m'a déplu. Planté au milieu de mon salon - c'était au tout début de l'après-midi, par les fenêtres je voyais la lumière qui venait frapper les immeubles voisins et, plus loin, la ville réduite en miniature, avec la petite tour scintillante de l'aéroport et au-delà encore toute la chaîne des Alpes dominée par cette vieille crapule de mont Blanc -, il m'a bien fallu reconnaître que, d'un certain point de vue, Michelangelo n'avait pas tort.

    Ce que j'en pense :

    De courtes chroniques ou récits qui s'imbriquent finement et qui nous font toucher pudiquement ce qui fait le quotidien de l'auteur.

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  • - Nouvelles

    "Retour à Reims" - Didier Eribon
    Fayard

    Présentation de l'éditeur :

    Après la mort de son père, Didier Eribon retourne à Reims, sa ville natale, et retrouve son milieu d'origine, avec lequel il avait plus ou moins rompu trente ans auparavant. Il décide alors de se plonger dans son passé et de retracer l'histoire de sa famille. Évoquant le monde ouvrier de son enfance, restituant son ascension sociale, il mêle à chaque étape de ce récit intime et bouleversant les éléments d'une réflexion sur les classes, le système scolaire, la fabrication des identités, la sexualité, la politique, le vote, la démocratie... Réinscrivant ainsi les trajectoires individuelles dans les déterminismes collectifs, Didier Eribon s'interroge sur la multiplicité des formes de la domination et donc de la résistance. Un grand livre de sociologie et de théorie critique.

    Didier Eribon est professeur à la faculté de philosophie, sciences humaines et sociales de l'université d'Amiens. Auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels Réflexions sur la question gay (Fayard, 1999), il a été le lauréat 2008 du prestigieux Brudner Prize, décerné chaque année par l'université Yale.

    Première page :

    "Longtemps, ce ne fut pour moi qu'un nom. Mes parents s'étaient installés dans ce village à une époque où je n'allais plus les voir. De temps à autre, au cours de mes voyages à l'étranger, je leur envoyais une carte postale, ultime effort pour maintenir un lien que je souhaitais le plus ténu possible. En écrivant l'adresse, je me demandais à quoi ressemblait l'endroit où ils habitaient. Je ne poussais jamais plus loin la curiosité. Lorsque je lui parlais au téléphone, une fois ou deux par trimestre, souvent moins, ma mère me demandait : « Quand viens-tu nous voir ? » J'éludais, prétextant que j'étais très occupé, et lui promettais de venir bientôt. Mais je n'en avais pas l'intention. J'avais fui ma famille et n'éprouvais aucune envie de la retrouver.

    Je n'ai donc connu Muizon que tout récemment. C'était conforme à l'idée que j'en avais conçu : un exemple caricatural de « rurbanisation », un de ces espaces semi-urbains en plein milieu des champs, dont on ne sait plus très bien s'ils appartiennent encore à la campagne ou s'ils sont devenus, au fil des ans, ce qu'il convient d'appeler une banlieue..."

    Ce que j'en pense :

    Un très bon livre où se mêlent autobiographie et critique sociale. Il raconte sa victoire contre sa condition modeste, ses combats en tant que gay et finalement son respect et sa reconnaissance pour ce "monde" ouvrier dont il a eu honte pendant une grande partie de sa vie.

    Belle leçon de sociologie et de politique


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  • - Nouvelles

    "Mon dernier cheveu noir" - Jean Louis Fournier
    Editions Anne Carrière (poche)

    Présentation de l'éditeur :

    Je regarde une vieille photo. J'étais pas mal, avant. Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ? Peut-être parce que c'est l'hiver ? Si vous passez l'hiver, vous verrez : l'été, c'est pareil. Vous savez comment on s'aperçoit qu'on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche.

    Auteur de nombreux livres à succès dont "Il a jamais tué personne, mon papa" et "Grammaire française et impertinente", Jean-Louis Fournier vient de fêter ses soixante ans.

    Première page :

    "J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour éteindre les soixante bougies. Tout le monde rit dans mon dos. Je pense qu'ils se foutent de ma gueule. Je n'arrive pas à croire que j'ai soixante ans. Pourtant, j'ai eu soixante années pour m'y préparer.

    J'aime de moins en moins les anniversaires, surtout le mien. Je n'ai pas besoin de cadeau, j'ai tout et je n'arrive pas à dire « Quelle bonne idée ! » à celui qui a eu une mauvaise idée. Mon tiroir déborde de cravates que je ne mettrai jamais. J'aimerais que tout le monde parte, j'ai envie d'aller me coucher. Je n'aime pas les gâteaux, le Champagne est tiède et j'ai peur des compliments. J'imagine le pire : la petite fille endimanchée qui va venir me chanter : « Voulez-vous danser grand-père, tout comme au bon vieux temps, quand vous aviez vingt ans, sur un air qui vous rappelle combien la vie était belle... » La vie était belle, les bons souvenirs remontent à la surface, ils sont plus légers. Les mauvais, plus lourds, restent au fond.

    Je sais que je vieillis, ce n'est pas nécessaire de me le rappeler chaque année."

    Ce que j'en pense :
    Série de chroniques très courtes et d'aphorismes sur le vieillissement. Tout ne se vaut pas mais le plaisir l'emporte quand même largement.


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  • - Jeunesse

    Georges Perec -Espèces d'espaces
    Galilée

    Présentation :

    Ce livre de Georges Perec est un essai philosophique. Tout ce qui touche au monde de la vie quotidienne intéresse Perec.
    A l'origine, l'espace, c'est le vide. Mais il suffit de tracer en noir le périmètre d'un carré blanc pour que le vide ne soit plus le même. Le fil d'un tracé dessine aussitôt un dedans et un autour.
    Les espaces s'empilent à la manière de poupées russes. Espace premier : la page sur laquelle vient s'écrire le livre. Et dans cet espace d'écriture viennent s'emboîter, chapitre après chapitre, le lit, la chambre, l'appartement, l'immeuble, la rue, le quartier, la ville, la campagne, le pays, l'Europe, le monde, l'espace.

    Extrait :

    J’ai plusieurs fois essayé de penser à un appartement dans lequel il y aurait une pièce inutile, absolument et délibérément inutile. Ça n’aurait pas été un débarras, ça n’aurait pas été une chambre supplémentaire, ni un couloir, ni un cagibi, ou un recoin. Ç’aurait été un espace sans fonction. Ça n’aurait servi à rien, ça n’aurait renvoyé à rien.

    Il m’a été impossible, en dépit de mes efforts, de suivre cette pensée, cette image, jusqu’au bout. Le langage lui-même, me semble-t-il, s’est avéré inapte à décrire ce rien, ce vide, comme si l’on ne pouvait parler que de ce qui est plein, utile, et fonctionnel.

    Un espace sans fonction. Non pas "sans fonction précise", mais précisément sans fonction ; non pas pluri-fonctionnel (cela, tout le monde sait le faire), mais a-fonctionnel. Ça n’aurait évidemment pas été un espace uniquement destiné à "libérer" les autres (fourre-tout, placard, penderie, rangement, etc.) mais un espace, je le répète, qui n’aurait servi à rien.

    Comment penser le rien ? Comment penser le rien sans automatiquement mettre quelque chose autour de ce rien, ce qui en fait un trou, dans lequel on va s’empresser de mettre quelque chose, une pratique, une fonction, un destin, un regard, un besoin, un manque, un surplus ?

    Ce que j'en pense :

    Livre très facile à lire (ce qui n'est pas le cas de tous les livres de Perec). Perec nous réapprend à voir l'ordinaire autour de nous, dans notre environnement, nos gestes...

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  • Terre-Mère homicide volontaire?

    Présentation de l'éditeur
    " De quoi manque le plus notre monde ? D'humain !... "
    Humain, humanisme, humanitaire.... autant de termes qui ont la même racine qu'humus, cette vitamine indispensable à la mince couverture qui, à la surface de notre planète, assure notre survie.
    Cette terre nourricière qu'on est en train d'épuiser, d'assécher, d'empoisonner...
    Parce que 20% de la population du globe est prisonnière de l'équation : croissance = production + consommation + profit, jusqu'à l'épuisement des ressources, alors que les 80% qui restent n'ont pas accès aux besoins vitaux les plus élémentaire.

    Biographie de l'auteur:
    Voilà plus de 40 ans que Pierre Rabhi, agroécologue et fondateur de terre et Humanisme, à la parole et l'engagement mondialement reconnus, dénonce et agit, pour que l'on sorte du cycle suicidaire du "toujours plus".
    II en appelle aux consciences, et particulièrement à celle des plus jeunes, pour que l'homme se réconcilie avec la nature, réapprenne à respecter et à protéger notre " terre-mère " Pour que chacun cultive, là où il vit, une "oasis d'humain dans ce désert d'inhumanité ". Tant qu'il est encore temps !

    Mon avis :
    Dans ce livre très facile à lire, Pierre Rahbi explique des évidences bonnes à rappeler et à mettre sur sa table de chevet... Il remet les choses à leur place et démontre l'absurdité de notre système non pas de consommation mais de surconsommation.



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